Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Le tableau du samedi: s'endormir - se réveiller
Un thème pour le tableau du week end de novembre : s'endormir - se réveiller Entre Toiles et Papiers > Actualités > Un thème pour ...
-
Haïkaï de ma composition : Parmi les feuillages lettrines pleins et déliés Art nouveau Guimard Volutes jambages Volubilis verts feuill...
-
Recueillement Sois sage, ô ma douleur , et tiens-toi plus tranquille. Tu réclamais le Soir; il descend; le voici: Une atmosphère obscu...
-
Les vers à soie Les vers à soie murmurent dans le mûrier ils ne mangent pas ces mûres blanches et molles pleines d'un sucre qui ne ...
Coucou Miss Yves
RépondreSupprimerCe Degas est magnifique et la femme qui baille reflète bien l et thème de Fardoise. Bravo, excellent choix .
Bises et bon premier novembre. Zaza
j 'aime beaucoup ce tableau
RépondreSupprimerque j 'avait aussi croisé
les attitudes de cette scéne sont trés bien vues ainsi que les couleurs
on se transporte au bord d e la table de repassage
métier dur de cette époque
bon mois de novembre
kénavo MissYVES
Très belle peinture de 2 femmes fatiguées. Bien choisie !
RépondreSupprimerBises Miss Yves et bon WE de Toussaint
Béa kimcat
tout à fait , dans cette toile j'ai toujours vu Gervaise
RépondreSupprimermerci Miss_Yves
On se demande combien de temps elle va encore pouvoir résister à la fatigue et au sommeil qui ne demande qu'à s'installer. Degas savait parler de la vie éreintante des femmes, et ses couleurs douces ne font pas illusion et ne cachent pas la misère.
RépondreSupprimerChère Miss Yves,
RépondreSupprimerUn choix percutant !
Ton choix pour le thème est très puissant et rappelle la réalité de l'épuisement.
Comme tu le soulignes ce n'est pas un sommeil de plaisir ou un rêve orinique mais l'abrutissement de la fatigue : Elle bâille, épuisée.
Ce contraste entre le labeur des repasseuses et l'envie irrépressible de dormir est très éloquent.
L'œuvre et ton commentaire mettent en lumière un aspect essentiel du thème : la manière dont le sommeil est une nécessité absolue, parfois un fardeau dans la dureté du métier.
Bravo pour cette interprétation sociale et réaliste !
Bien amicalement, Marie Sylvie