Je me souviens que les décors étaient toujours de Roger Hart. J'ai oublié le nom de l'acteur qui jouait Thierry La Fronde. Je me souviens que l'air de flûte à la fin de Bonne nuit les petits était de Pergolèse et s'intitulait "que ne suis-je fougère". Mais j'ai oublié quelle émission avait pour générique d'ouverture une pièce de Satie. Je me souviens d'un jeu éphémère animé par Lucien Jeunesse et Annick Beauchamp. Je me souviens du petit train qui faisait défiler un rébus dans la campagne, pour faire patienter son monde quand il y avait unproblème technique. J'ai oublié le titre de cette émission qui présentait des films muets et qui débutait sur une musique de Charles Wiener.
Je me souviens que Thierry la Fronde était interprété par Jean-Claude Drouot, mais j'ai oublié qui jouait Isabellr. Je me souviens aussi du petit train Interlude: il faisait plusieurs tours, dans la campagne, sur un via -duc, on le voyait de face, de derrière, en contre-plongée,et au dernier tour il sifflait en lâchant un long jet de vapeur. Je me souviens de l'émission qui présentait des films muets,qui débutait par une musique de Jean (,) Wiener, c'était "histoires sans paroles " Miss Yves
Je me souviens de la poupée Claire, qui le jeudi présentait une sorte de séquence du téléspectateur pour enfants. Et que c'était Rintintin qui suivait. Je me souviens du Francophonissime, jeu auquel participaient régulièrement Micheline Dax et Jean Valleton (Valeton ?). J'ai oublié le nom de tous les autres. Je me souviens de "chef-d'oeuvres en péril", une émission aussi sinistre et rébarbative que son titre pouvait le laisser supposer. Je me souviens de Monsieur Cinéma, animé par Pierre Tchernia. J'ai oublié le nom d'un autre jeu, qui testait lui aussi le savoir des candidats et qu'animait Jacques Rouland. Je me souviens que tous ces jeux voyaient arriver un jour un candidat exceptionnel, qui allait plus loin que les autres, et qu'on était toujours triste de le voir perdre quand même à la fin. Et peut-être un peu soulagé aussi.
Moi aussi, je me souviens très bien de tout cela ! Nous avons des souvenirs communs, en commun ! C'est bien d'en avoir listés une partie. Les images sont apparues avec précisions car tu les as bien décrits. Je me souviens des airs d'opéras ou de chansons de variétés de cette époque. Il arrivait que je les sifflasse ou même que je les chantasse dans les rues de ma de la cité minière où j'ai passé mon enfance, sans me préoccuper des personnes que je croisais ou qui m'écoutaient derrière leurs fenêtres en se moquant peut-être...j'étais simplement content. Non, je ne suis pas devenu chanteur de rues (rires) bien que ma grand'mère maternelle disait souvent que j'avais une jolie voix. Mais comble de coïncidence ou de hasard, il m'est arrivé de chanter dans le petit orchestre d'accordéonistes seniors dans lequel nous sévissions, ma femme et moi, durant quelques temps...C'était "presque" la consécration ! La voix portait, mais souvent les accordéonistes jouaient bien plus fort (peut-être étaient-ils un peu dur de la feuille ? certains d'entre eux l'étaient sûrement ! ou voulaient-ils simplement dominer pour faire entendre leur dextérité musicale...allez savoir...Ils étaient quand même près d'une trentaine et pour les faire descendre, ensemble, en "pianossimo" il fallait parfois employer les grands moyens !
Je me souviens que les décors étaient toujours de Roger Hart.
RépondreSupprimerJ'ai oublié le nom de l'acteur qui jouait Thierry La Fronde.
Je me souviens que l'air de flûte à la fin de Bonne nuit les petits était de Pergolèse et s'intitulait "que ne suis-je fougère".
Mais j'ai oublié quelle émission avait pour générique d'ouverture une pièce de Satie.
Je me souviens d'un jeu éphémère animé par Lucien Jeunesse et Annick Beauchamp.
Je me souviens du petit train qui faisait défiler un rébus dans la campagne, pour faire patienter son monde quand il y avait unproblème technique.
J'ai oublié le titre de cette émission qui présentait des films muets et qui débutait sur une musique de Charles Wiener.
Je me souviens que Thierry la Fronde était interprété par Jean-Claude Drouot, mais j'ai oublié qui jouait Isabellr.
RépondreSupprimerJe me souviens aussi du petit train Interlude: il faisait plusieurs tours, dans la campagne, sur un via -duc, on le voyait de face, de derrière, en contre-plongée,et au dernier tour il sifflait en lâchant un long jet de vapeur.
Je me souviens de l'émission qui présentait des films muets,qui débutait par une musique de Jean (,) Wiener, c'était "histoires sans paroles "
Miss Yves
Je me souviens de la poupée Claire, qui le jeudi présentait une sorte de séquence du téléspectateur pour enfants. Et que c'était Rintintin qui suivait.
RépondreSupprimerJe me souviens du Francophonissime, jeu auquel participaient régulièrement Micheline Dax et Jean Valleton (Valeton ?). J'ai oublié le nom de tous les autres.
Je me souviens de "chef-d'oeuvres en péril", une émission aussi sinistre et rébarbative que son titre pouvait le laisser supposer.
Je me souviens de Monsieur Cinéma, animé par Pierre Tchernia. J'ai oublié le nom d'un autre jeu, qui testait lui aussi le savoir des candidats et qu'animait Jacques Rouland. Je me souviens que tous ces jeux voyaient arriver un jour un candidat exceptionnel, qui allait plus loin que les autres, et qu'on était toujours triste de le voir perdre quand même à la fin. Et peut-être un peu soulagé aussi.
Moi aussi, je me souviens très bien de tout cela ! Nous avons des souvenirs communs, en commun ! C'est bien d'en avoir listés une partie. Les images sont apparues avec précisions car tu les as bien décrits.
RépondreSupprimerJe me souviens des airs d'opéras ou de chansons de variétés de cette époque. Il arrivait que je les sifflasse ou même que je les chantasse dans les rues de ma de la cité minière où j'ai passé mon enfance, sans me préoccuper des personnes que je croisais ou qui m'écoutaient derrière leurs fenêtres en se moquant peut-être...j'étais simplement content. Non, je ne suis pas devenu chanteur de rues (rires) bien que ma grand'mère maternelle disait souvent que j'avais une jolie voix.
Mais comble de coïncidence ou de hasard, il m'est arrivé de chanter dans le petit orchestre d'accordéonistes seniors dans lequel nous sévissions, ma femme et moi, durant quelques temps...C'était "presque" la consécration ! La voix portait, mais souvent les accordéonistes jouaient bien plus fort (peut-être étaient-ils un peu dur de la feuille ? certains d'entre eux l'étaient sûrement ! ou voulaient-ils simplement dominer pour faire entendre leur dextérité musicale...allez savoir...Ils étaient quand même près d'une trentaine et pour les faire descendre, ensemble, en "pianossimo" il fallait parfois employer les grands moyens !